par amour l’espoir s’est déshabillé mis à nu il te ressemble l’attente c’était toi au-delà de tout désir je suis ton corps ancré dans le mien tu me réveilles je te vois tu nous regardes leur parler des lunes mille fois retournées bercer le ventre alangui de la nuit assoupies à parler et délier nos bras chargés d’espérance assouvie de soif enflammée d'un feu assoiffé Photo : Jean-Michel Basquiat par Tseng Kwong Chi, 1987.
Il est beau de ne jamais lâcher l’espérance, c’est la seule manière de le voir se réaliser.
Et quand elle se dit avec de tels mots, elle se essème à tous vents.
Merci pour cela, Isabelle 🙂
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Merci pour tes mots Hedwige, qui fleurissent dans les miens.
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