j’ai croqué la pomme
lu tous les poèmes
tant que le pain ne devient pas pierre
je ne te jetterais pas la première
car il est trop court
le temps des cerises
pour souffrir de trop attendre
tes soupirs soufflent sur la nuit
et au réveil ton visage apparaît
allons danser sous la fontaine
ensoleiller notre journée
soulève tes pieds
la vie est tendre
Photo : Marc Chagall, « Le Dimanche », 1954.
Ces mots sont beaux avec en prime Chagall. merci.
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Merci Pigraï !
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Merci Pigraï…
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Très imagé ce poème. Je suis admirative devant ta plume qui devant un tableau peut s’envoler et sortir ces mots.
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Beau !
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Merci !
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