j’ai croqué la pomme 

lu tous les poèmes

tant que le pain ne devient pas pierre

je ne te jetterais pas la première

car il est trop court

le temps des cerises

pour souffrir de trop attendre

tes soupirs soufflent sur la nuit

et au réveil ton visage apparaît

allons danser sous la fontaine

ensoleiller notre journée

soulève tes pieds

la vie est tendre

Photo : Marc Chagall, « Le Dimanche », 1954.

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6 réflexions sur “Gedicht #49

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