ce qui te nourrit
avec les deux airs
expirer s’inspirer
vit évolue s’envole
fait de toi l’oiseau
l’arbre le papillon
ce qui te nourrit
mûrit fermente et
pourrit aussi oui
le pain la pomme et
les poèmes alors
pourrissent-ils aussi ?
non s’ils sèment la graine
s’ils s’aiment et dégainent
le fruit de poèmes
qui vivent évoluent
s’envolent à leur tour
la phrase continue
l’emphase perpétue
la question d’après
sinon j’en mourrai
Photo : Pablo Picasso, « L’aubade », 1965.
Je crois que le poème que le poème est la fleur sans question d’un espace affamé…
J’aimeAimé par 1 personne
Oh comme cette image me parle, qui parle toute seule, merci Barbara…
J’aimeAimé par 1 personne
« Que le poème » une seule fois suffira!
J’aimeAimé par 1 personne
Peut-être le poème insiste-t-il sur sa faim, sa faim pour de vrai.
J’aimeAimé par 1 personne
Son silence de reptation lui qui n’a de proie que lui-même…
J’aimeAimé par 1 personne
consume eat
but not erode
commode
your mind
is the thing most unkind
J’aimeAimé par 1 personne
Well done!!!
J’aimeJ’aime
what did we learn from sting. jarre tu.
J’aimeAimé par 1 personne
« Ask yourself, ‘Who’d watch for me?
‘My only friend, who could it be?’
It’s hard to say it
I hate to say it
But it’s probably me »
J’aimeJ’aime
frenemy
J’aimeAimé par 1 personne