puisse la main qui se pose au bras de cette robe épouser ton rythme et la grâce de ton visage le ciel a mis ses draps à sécher de la veille si tu t’y es cachée c’est que tu étais nue mes pas dans la neige c’est comme de la poudre aux yeux tout ce que j’enfonce c’est une couronne de lys blanc Photo : Auguste Rodin dans son atelier devant le Monument à Victor Hugo, 1898.