à la prochaine marée aux prochaines déferlantes
peut-être ne dirons-nous plus rien dans l’instant, ici
nous prendrons la route et le temps
comme le soleil prend le paysage par surprise au lever du jour, en lui offrant sa propre lumière
les nuages se dissiperons alors, corps et lèvres s’ouvriront, sentiers d’ivresse et de volupté
au rythme d’une poursuite apaisée, pas après pas, peut-être c’est cela la vérité
à cet instant, c’est cela la chute, et aux prochaines ascensions…
Photo : La Coquillade, Gargas.
A ne rien prendre on peut tout donner…
Alain
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Comme c’est juste et joliment dit…
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« les nuages se dissiperons alors, corps et lèvres s’ouvriront, sentiers d’ivresse et de volupté ».
J’aime ce poème apaisant et sensuel. Merci
Alan
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Merci pour votre passage, cher Alain.
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