ce n’est pas encore le printemps 
c’est pourtant déjà le plus beau 
et de si loin 
si j’en reviens
ce serait les bras si chargés 
de ta voix ton sourire ta peau
d’horizons dorés de promesses 
coulées dans le bronze et l’azur 
mes pas soulèvent
l’air argenté
face à l’océan ton pays
est apparu dans mon esprit

Photo : Henri Matisse en train de peindre « Odalisque sur un sofa turc », 1928.
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2 réflexions sur “Il faut plus d’une fois pour se laisser surprendre #89

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