quelque part 
entre le poireau et puis l’espoir 
j’allonge le trait végétal à l’horizontal 
de l’aurore 
lorsque tes mots d’hier inventaient 
en rêve d’immenses champs dans les vents vifs verts 
à l’envers 
de la vie l’envie ne s’est pas tue 
qui me chante à tue-tête des lendemains debout

Photo : Vincent Van Gogh, « Champs de blé vert », 1890.

2 réflexions sur “Il faut plus d’une fois apprécier la verdure #145

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