prendre les voiles détacher mon visage du ciel 

deviner l’évidence du sien 

ciel étoilé plus lumineux que la millième nuit

son regard se perd entre nuages et songes

j’ai beau souffler la voile se tend 

mais le départ est retardé

par le poids de ce soir

tout l’espoir du monde

dans mon regard amarré 

Photo : Beken of Cowes, 1911.

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2 réflexions sur “Gedicht #40

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