sur mon île aux reptiles
du vent on se protège
il faut être serpent
pour ne pas déguerpir
la morsure du soleil n’est que caresse
quand enfin cesse
la véhémence à nulle autre pareille
de ce qui nous a à l’usure
alors le soir comme la lune je me fais pâle
pour parfaire mon armure
j’invoque dieux et tourments
et danse la transe macabre
au matin j’ai mué
on y voit que du vent
Photo : Joan Miro, « Metamorphosis », 1936.
Nice post🤠
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Thank you!
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My pleasure 😄✌️
Have an amazing day, Isabelle!!🤠✨️
Butterfly 🦋
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Sublime…
Miss G
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Merci infiniment…
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De rien ^^
Miss G 😊
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Magique !
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Merci !
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C’est dans un fracas des mots perdus
que l’heure sanguine se disloque
étalant un baume de silence inquiétant
sur les morsures du sel et du vent
promesse rauque d’un lendemain de chaleur
où la vipère attend.
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Anesthésiée par la morsure des courbatures, vos mots ont ce dont d’aviver le venin salvateur qui délie les mains, quand le sang n’a fait qu’un tour.
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Oh, ça coince aujourd’hui?
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Oh, à peine.
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Bon courage à vous alors Isabelle…
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Et bon courage à vous pour les dernières copies…
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Terminé…
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Bravo !
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Quelle est donc cette île ? Elle m’évoque celle que je connais bien, au sud ouest majorquin.
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Une île en Grèce…
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