sur ton épaule qu’il m’empêche d’approcher 
souffle une rage qu’il peine à maitriser
tu sais le vent n’a jamais existé
c’est moi qui hurle
je crie
tu n’entends rien
à quoi sert la beauté dans le poème 
sinon tout détruire et recommencer 
comme la vague balaie le château de sable
pour inspirer plus grand le lendemain
tout n’a pas sa place non
je ne vois pas 
pourquoi ce vide en moi si tout est plein
on ne devrait écrire que sur l’absence 
ainsi
un jour 
tout ça
aurait un sens 
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Une réflexion sur “Le pain, la pomme et les poèmes #118

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