dans l’échancrure de tes phrases et syllepses j’ose
déposer mon espérance ma crainte de perdre
ton regard attentif et sur ta joue le cil
car
il n’est pas en amour de petit objet*

(*) Colette, « Le Fanal Bleu », 1949.

Photo : Sidonie Gabrielle Colette.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s