quand l’exode aura sonné tout à l’heure je partirai en masse dans ce lointain où tu me préfères et j’emporterai ma part de rêve au soleil malgré tout le roulement des galets dans la vague et tous ces cailloux qui m’ont inspirée le cahier d’écriture qui a roulé par tous les sentiers qui pouvaient mener à un virage une plongée au silence qui aura fait fuir nuages et rumeurs et ton visage je l’emporte en premier partout où j’irai il sera chez moi
Le cahier d’écriture est une constance dans le déplacement.
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J’aime beaucoup l’image de visage que j’emporte en premier… Il est bien beau ce poème.
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Merci beaucoup, Isabelle-Marie ! Que la journée vous soit douce.
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