et si c'était le dernier soleil 
oui le notre
celui sous lequel nous serions nous 
pour de vrai
nos mots sublimés deviendraient-ils la lumière
et le verbe un instant dans tes bras
contre toi
pour danser avec le vent rien que lui nous deux 
qu'en dis-tu
je t'emmène avec moi 
accroche-toi

Photo : Joan Miro, "Peinture", 1933.

2 réflexions sur “Le pain, la pomme et les poèmes #125

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