ô folie
j’ai chanté la vie vécu le chant
vaincu le vent dévêtu l’été au printemps
la pluie n’est pas tombée
non elle n’est pas tombée
j’ai dansé par tous les temps
épuisé le bal et trouvé la phrase
enrobée par ton emphase
ta robe n’est pas tombée
non elle n’est pas tombée
j’ai cherché mon souffle pris une grande inspiration
plus un son pas un mot
plus un pas dans la cour
les secrets se sont arrêtés dans l’escalier
les pinsons de piailler le chat de se lécher
les nuages de circuler la presse de crier
moi-même je me suis tue
devant toi dévêtue
Photo : Henri Matisse, « Nu allongé », 1936.
Nu d’été
Le corps passe devant le miroir de sa mémoire…
Alain
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C’est joliment dit, merci Alain…
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Beau poème
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Merci Joël…
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La buée têtue de la nuit en robe blanche
a renvoyé au matin le dérisoire et le sacré
dos à dos
J’ai posé mon inconnue sur l’équation de leurs images
et j’ai fait la toilette à mon enfance divisée
Sans un mot
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Quelle superbe sensibilité, comme un bijou que j’aimerais porter toute la journée. Merci Barbara…
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Votre poème aussi Isabelle…Belle journée
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Belle journée Barbara…
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C’est tellement beau! Merci!
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Merci à toi, Filipa !
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superbe…
merci Isabelle
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Merci Francine…
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Sublime et érotique…
…tout en gardant gardant une légèreté…
…délicieuse…
Miss G admirative
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Merci…
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Merci à vous de nous donner une si belle évasion et inspiration…
Miss G 😊
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Jolie et douce poésie! Amitiés
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Oh merci, vous êtes de Grèce ?
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