si la terre m’attire à elle et me cloue au sol il est une force plus puissante que la gravité c’est la joie d’être transportée au ciel de force parce que l’on ne s’attend pas au ravissement à ce moment d’étonnement où je décolle d’un coup plaisir fou folie folle félicité comment aurais-je pu moi qui ne sais pas voler sauf entre les lignes de ce qui ne s’écrit pas Photo : Frantisek Kupka, « Printemps cosmique », 1913.
Superbe…
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Merci du fond du coeur, ma chère Barbara.
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🌻
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🌷
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Il y a ce phénomène : allongé sur la terre, les yeux dans l’azur. Un vertige, un vertige à l’envers, une sorte de pacte au néant. Ici, point de gravité, juste un tout. Un secret peut-être.
J’aime beaucoup votre texte.
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Merci Jean-Pierre.. c’est très juste, ce que vous écrivez, très beau aussi !
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Merci à vous. ☺
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Magnifique ! Merci Isabelle
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Merci à vous Hedwige !
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plaisir fou folie folle félicité
comment aurais-je pu moi qui ne sais pas voler
sauf entre les lignes de ce qui ne s’écrit pas
Wonderful insights! These lines are the definition of poetry and the poetic impulse. Sarah
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Oh thank you Sarah! Thank you so much…
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