tu dis pardon
j’entends partons
coup de génie
tu as raison
je te décris
qui n’écris plus
tu n’en penses pas moins j’entends
ton nom prononcé
l’entends-tu toi aussi
ton nom d’ici et d’ailleurs
tout se sait tu le sais ça aussi
et le café qui coule
ça au moins c’est vrai
comme tout le reste
d’ici
et d’ailleurs
le poids la chaleur
je sais que tu sais
ta main te trahit
partons
Photo : Antonio Canova, « Psyché ranimée par le baiser de l’Amour », 1793.
Cette beauté. Ce mouvement.
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Un élan. Une inspiration.
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J’aime tout particulièrement ce texte-là. Et la sculpture qui l’accompagne, quelle beauté quasi irréelle…
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Merci Nath, je vise la sincérité. Et ce compliment me va droit au coeur !
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merci d’avoir posé 30 likes en 3 mn…question sincérité….
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Pardon pour l’avalanche, si elle vous a heurtée. Je suis de retour sur grand écran, ce qui me permet de reprendre une lecture plus suivie des auteurs et autrices que j’apprécie. Je suis admirative de votre prolificité littéraire autant que de votre talent, le plus sincèrement du monde.
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Voilà qui me rajeunit
Je n’en parlais plus de ma désapprobation du likage qui éradique la lecture
Je comprends la réaction que Barbara a eu…
Alain
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J’adore le rythme de votre écriture. Très particulier mais déclenche la rêverie. Félicitations. Merci pour ce poème le jour de mon anniversaire 😉
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Un très joyeux anniversaire, Olivier !
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Merci beaucoup
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