déroulons les épaules sans faire tomber l’oiseau
combien de fois ai-je su
qu’il chantait sur ma branche
et j’inspire jusqu’au fond de mon âme endormie
les rêves qui s’en échappent c’est du baume au réveil
ouvrons grand les poumons aussi grand qu’un printemps
les courbatures d’hier
construisent l’effort du jour
une autre expiration la fatigue et le froid se dissipent dans la nuit
le sourire qui se lève
garde le pour toujours
il nous parle d’amour
Photo : Félix Ziem, « Coucher de soleil », 1875.
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