parlons catalan à la poursuite du rêve
et laissons tout conformisme très loin derrière
sans censure je mesure l’écriture
elle est libre
et le temps éternel
pour qui clôt les paupières
de la mort 
il n’y verra que la vie l’envie
d’oublier tout ce qui résiste les temps sont mous
et ta peau douce comme la mémoire d’un souvenir
aussi frais que l’été où je vais te trouver

Photo : Salvador Dali, 1930.
(Un an avant « La Persistance de la mémoire », toile qu’il a peinte en seulement quelques heures.)
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