à la croisée de deux saisons 
en un instant nous basculons
culbute arrière dans un hivers
qui oublie de se présenter
roulade avant sur l’éclaircie
que l’on attendait loin d’ici
et plus l’attention est portée
sur l’élégance dans les nuances
plus les rouages traversent les âges
sans que leurs secrets ne dérangent

Photo : Pierre Bonnard, « Les Danseuses », 1896.

2 réflexions sur “Il faut plus d’une fois observer sans comprendre #360

Laisser un commentaire