à pas de loup
le soir venu
j’aurais dansé 
avec ton masque 
au carnaval 
des ombres nues 
levé peut-être 
tout ce mystère 
ou plongé là 
dans l’inconnu 
quand on en parle 
elle apparaît 
la forêt a 
repris sa place 
densifié son 
opacité 
je n’écris pas 
pour l’esthétique 
mais par instinct 
pour m’y cacher

Photo : Valentine Hugo, « Les Animaux et leurs Hommes, Les Hommes et leurs Animaux », 1937.

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