nuit illuminée
étoilée
par toute cette
électricité
tes mots parsèment le ciel
de mon jour élancé
et je n’en mène pas large
pour être il faut durer
l’amour est
et puis j’en sais rien
il vous tombe dessus
d’on sait où
j’en reviens à tes mots
lus par la terre entière
ont-ils la même saveur
qu’à mon coeur succombé
l’amour est tension
une décharge
qui fait que
je meurs en l’absence
Photo : Félix Vallotton, « La Maitresse et la Servante », 1896.
Splendid ! Merci Isabelle ! ❤🧡💛
J’aimeAimé par 3 personnes
Merci Filipa !
J’aimeAimé par 1 personne
Pour celle qui a les mots
Et dont le regard s inquiète de la poussière
Tu remontes le cours du temps
Celui des tempêtes
Et quand elle est submergée
Par l importance du peu
Tu lui opposes la conscience d un tout
Remontant de son genou à ses yeux
Pour y lire la lisière de ton nom
Les prémices de l oiseau
J’aimeAimé par 2 personnes
La fraîcheur d’un cours d’eau dans lequel je peux apaiser dépayser tout mon être.
J’aimeAimé par 3 personnes
oui, comme ça…
J’aimeAimé par 2 personnes
taste and see the every
very mystery
of la femme
gaul
and that is not all
J’aimeAimé par 1 personne
Entre le tableau que je trouve sublime,
mots manquant…
Et les mots qui le sont autant…
Délicieuse volupté,
Lecture galbée,
D’un imaginaire osé,
Mais Hoooo ! Si sublime !!!
Miss G 😊
J’aimeAimé par 1 personne
Que de compliments, mille mercis !!!
J’aimeAimé par 1 personne
Je ne pouvais pas rester sans réellement un mot…
L’ensemble est assez inspirant…
Merci à vous ^^
Miss G 😊
J’aimeAimé par 1 personne
Tensions intenses, passion saccadée, rythme saccagé presque sacrilège de la faim dévorante de l’autre, j’aime cette fracture dans la facture des mots, dans le phrasé échevelé d’une course vers l’autre, un-e autre qui devient absence. Votre poésie résonne en moi comme un écho. Je me dis que je suis moins seule d’être folle dans un monde trop sage où l’amour écrit par une femme ne peut être celui décrit par un homme.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Véronique pour vos mots…
J’aimeJ’aime