quand je pose les mains là pour danser à ton rythme l’univers tout entier s’accroche autour de moi 
et le miel qui envoute en secret notre instant coule au fond de l’iris se récolte à tes lèvres
se répand en douceur jusqu’au bout de mes doigts inspire chacun des gestes pour construire au présent  

Photo : Egon Schiele, « Autoportrait aux mains sur la poitrine », 1910.
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