les vendanges battent leur plein et je fais mienne la fête
loin du virtuel
de son vide obscurantiste
le plein d'une figue et d'un raisin masculin et
féminin d'un seul fruit sur la butte de l'amour
où tu bats ta batucada je marche au rythme
non binaire de mes pas qui
dansent de-ci de-là
sans convention ni repos à condition seule
au douzième coup de minuit
de t’avoir pour moi
ni coupe ou césure je veux la faire à l’envers
partons ensemble et c’est vrai si et seulement
si c’est dit entre nous le chemin s’ouvre à vie
Photo : Michael Ochs, The Supremes, 1965.
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Ce poème, je voudrais le prendre au pied (au cep) de la lettre.
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Il est fait pour ça !
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