j'ai dispersé les étoiles par tous les sentiers comme pour laisser les traces de mes semelles usées et si l'automne s'engouffrait trop tôt cette année savoir que dans le ciel je reconnais l'été alors peut-être je survivrai jusqu'au printemps l'oiseau est toujours prêt à partir je l'écoute par la fenêtre grande ouverte sur l'infime possible Photo : Vincent Van Gogh, "Les Rochers", 1888.
Une réflexion sur “Le pain, la pomme et les poèmes #129”