son regard me fait le même effet mer
la vague
au glamour provoquant
qui te prend là où brûle
le feu qui l’attend elle l’attise il se répand
dans mon ventre océan balayé par la lame
d’un désir qui fait pâlir la pire des folies
est-ce vraiment ce regard
ou l’écho qu’il entrouvre
en moi
les yeux la voix sa moue la vague gronde je prends tout

Photo : Lauren Bacall, 1940.
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4 réflexions sur “Poèmes au basilic et à l’oreiller #72

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