l’arbre ouvert au-dessus de la mer

c’est ton espace tu vois j’en ai rêvé

ses branches agitées par le vent t’éloignent

de la forêt par ce sentier tracé

à même la peau de ma nuit effleurée

par des songes que ta main a rattrapés

éveil des sens panne de réveil j’arrive

sens dessus dessous ta nudité est

étoilée ciel intense dans mon envol

2 réflexions sur “Gedicht #36

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