l’effluve du café et les doux caprices des fleuves 
sont un peu comme les preuves 
de ta complexité
sans être abstraite tout à fait puisque mon cœur
est réchauffé et mon âme chatouillée quand
dans mon raisonnement
du monde naturel
je t’inclue au petit matin pour simplifier
les possibles et envisager de caresser
ton visage apparu
dans ma réalité
ta présence vient embellir jusqu’au temps qu’il fait

Photo : Vassily Kandinsky, « Rue de Murnau », 1908.
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