il te suffit de ne plus prêter attention
et te voilà soumis par le premier serment
au dernier souverain
en coton sa couronne
et la constance et l’affection et le courage
parlez-moi d’amour courtois oui soyons galants
restons secrets plus rien
ne sera impossible
je suis dévouée sans sacrement au désir
la folie de donner sans échange je retourne
au siècle de l’amour
et me fais troubadour
mon rythme cardiaque ne connaît pas le danger
je ne crois plus en rien d’autre qu’au merveilleux
Photo : Jean-Honoré Nicolas Fragonard, "Le Baiser à la dérobée", 1766.
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Isabelle, tu exprimes si bien le désir, sous toutes ses formes, que j’ai cité tes poèmes dans mon dernier article. Merci pour nous restituer, avec constance, ton univers merveilleux!
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Oh merci, je suis très touchée… je peux lire ça sur ta page ?
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Oui, je donne le lien direct: https://2avsto.fr/2022/09/23/seul-un-autiste-peut-oser-pretendre-contribuer-a-rendre-la-theorie-mimetique-de-rene-girard-scientifique/
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