pour autant j’étais vivante l’oiseau le savait et s’en étonnait en entonnant son bel hymne à notre amour tissé si spécialement presque lisse à travers plis et intempéries que son fil doré pourrait habiller les arbres de la forêt fauve où sauvages et vagabondes quand pour la première fois le chaud soleil roux a chauffé la voix de tous ces poèmes de toi qui m’ont traversée comme un vrai souffle de vie Photo : Pablo Picasso, « Le baiser », 1925.
Superbe…
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Merci Barbara…
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