à trop rêver j’ai révéré avant d’oser sa moue quand elle s’arrête l’air étonné j’avoue c’est soudain si divin je lui vouerais une cuite tant mon corps enivré parcourt tous les frissons je ris je dis j’adore et quel effet enfin de voler dans ses plumes un peu pour s’amuser beaucoup parce qu’un printemps m’a poussé dans les ailes Photo : Amoako Boafa, “Monstera Leaf Sleeves”, 2021.
Une pure merveille ! ❤️💛 Merci Isabelle !
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Oh… merci Filipa ❤️
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J’adore! Il me parle !
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Cela rend le poème tout de suite plus vivant s’il te parle… merci d’être venue jusqu’ici pour me lire, chère Katia.
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