l’amour s’amarre sans barque
s’embarquent dans ses flots
c’est flou toi moi sans trêve
sans tes rêves je me noie
en moi là tu détraques
tes tracs et mon vertige
vestige d’un ici autre
ôte donc ton passé
passons vite les détails
taille ta haie saute ici
et si le coeur t’en dit
tandis que je m’apprête
s’arrête mon coeur mon dieu
odieuse est la folie
folle à lier tu le sais
fais le pas le premier
Photo : Henri Matisse, « Baigneuse au collier », 1940.
charmant.
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Des paroles sincères.
C’est un plaisir de vous lire.
Salutations.
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Merci à vous, je suis touchée.
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🤗😃🤗
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Comme un chant de sirènes, qu’on suit aveuglément…
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A suivre…
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Oui. C’est une épopée. Une odyssée.
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Tu es une poétesse, tu as le sens de ce vide et de ce plein , du dedans et du dehors des mots, tu es dansqq chose qui est la nature du mot. C’est très bien… et tu cours ?
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Quel compliment, merci ! Oh oui, il m’arrive de courir, même un peu trop, y compris après le temps…
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