le jour s’est ouvert sur le pétale refermé 
son parfum unique m’a suivie toute la nuit
pourquoi donc la magie ne pourrait-elle durer
plus d’une saison
pour la vie 
l’éternité oui
dans les hauteurs son souvenir j’ai retrouvé 
nous avons ri marché 
nous nous sommes embrassées 
les hautes herbes ont même caché notre secret
à mon réveil le pétale s’était envolé

2 réflexions sur “Le pain, la pomme et les poèmes #116

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