l’amoureuse fait les cent pas en fauteuse de trouble artiste de rue elle résiste au mouvement qui emporte les indécis d’un trottoir à l’autre et n’a d’yeux que pour la blanche colombe invisible à l’œil nu sauf pour elle la muse inspiratrice dont l’excentricité se fait complice la nuit modèle le jour et égérie de la parole qui dit la vérité dure tant qu’on croit en elle la poésie qui passait par là a écrit la fugacité des yeux fertiles comme l’été Photo : Paul Eluard.
Être celle qui porte la tenue de Gala.
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La tenue de rêve par excellence.
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