dernier virage avant les portes du bleu ciel
personnel navigant dans le grand vague
j’écris livide
et la lenteur
où trouver le sommeil
après que l’horloge ait vidé sa rage
à la nage tu deviendras
et je viendrai voir
la victoire du sable sur ta peau nue
Photo : Paul Cézanne, « Sept baigneurs », 1900.
amour qui sable doucement
la seule étoile sans cause
comment ne pas mourir
de cette beauté là…
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Sublime, sublime irrésistiblement…
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Le rythme de votre poème.
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