et s’il m’était permis de conjuguer l’amour c’est au printemps de l’éternel tout espoir au présent et chaque pas vers toi c’est un oiseau qui chante en moi au cœur de mon réveil je cueille comme un miracle la chaleur rêvée de ta peau sans condition je rends à l’instant l’évidence à la rencontre sa magie Photo : Franz Marc, « Les grands chevaux bleus », 1911.
Oh, c’est tellement beau ! 💙💙💙
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Filipa, c’est l’inspiration du printemps ! 💗
J’aimeAimé par 1 personne