et s’il m’était permis de conjuguer l’amour
c’est au printemps de l’éternel
tout espoir au présent et chaque pas vers toi
c’est un oiseau qui chante en moi
au cœur de mon réveil je cueille comme un miracle 
la chaleur rêvée de ta peau
sans condition je rends à l’instant l’évidence 
à la rencontre sa magie

Photo : Franz Marc, « Les grands chevaux bleus », 1911.

2 réflexions sur “Il faut plus d’une fois conjuguer au présent #85

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