savais-tu que derrière mes mots respire une âme
avide à un point des tiens qu’on croirait mon corps
en peluche
au moment d’ouvrir très grand les bras
sauf qu’il n’en est rien
j’ai moi la peau qui frémit
et le cœur qui saute les os qui se brisent aussi
ma phrase s’articule à mesure que je respire
justement non pas pour faire joli
la beauté
c’est toi qui l’inspire
comme mon parfum préféré
et si je ne portais rien d’autre pour dormir
sache qu’à morphée je donnerais congé ce soir
pour dans mes bras t’endormir en te racontant
l’histoire de celle qui avait besoin d’une crème
pour se protéger des brûlures d’un regard
Photo : Henri Matisse, « Kathy à la robe jaune », 1951.
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Une belle puissance évocatrice
il m’en reste un goût de cannelle et de marron chaud…
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C’est tout le bien que je pouvais te souhaiter…
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C’est vraiment très beau
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Merci Joël…
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