ce muscle qui me murmure les mots incompris
me dit respire ailleurs
continue en orient
le cœur bat il veut être nourri se débat 
avec la vie prise en plein vol de solitude
quand les pieds ne veulent plus danser la poésie
des mots amène le verbe
l’irrégularité
m’enlève les papiers de la bouche des poches je pars

Photo : Colette, « Rêve d’Egypte », 1907.
Publicité

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s