c’est chez moi là où la mouette crie le bleu et le blanc accueille l’inconnu venu par le vent du soir affronter la vague et trouver refuge dans les rires du port personne n’est chez soi et tout le monde à la fois je regarde le voilier prendre le large par la fenêtre grande ouverte sur le monde la brise matinale dit qu’il reviendra Photo : le port de Tinos depuis la terrasse.
Flux et reflux
se mettent à l’heur
de l’horloge parlante…
Alain
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Très beau, Alain… merci !
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Merci Isabelle
Je t’embrasse…
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