amarrée malgré elle aux tentacules du culte 
l’amante est reconnue par sa coiffure sculptée
pour faire parler d’elle rester muette aux avances 
du temps qui glisse jusqu’à la frange d’une jeunesse
affranchie de l’interdit elle en goûte les fruits
et alimente les attentions sans délivrer
d’aucune tentation 
raffiné le carré
coupe court aux rumeurs personne ne résiste
à l’espoir lorsqu’il bat jusqu’aux tempes dans le noir

Photo : Louise Brooks.

4 réflexions sur “Il faut plus d’une fois savoir briller pour soi #144

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