au creux de ce rêve j’habite toutes les saisons de résistance et d’abandon que tu voudras ma peau se fait pelage parfois rapproche-toi je veux entendre dans ta voix ce chant d’automne qui promet l’hirondelle demain et la cerise d’hier au creux d’un même refrain tu chantes tout bas et bientôt tu t’en iras le ciel ne retient pas l’oiseau je dessine un nuage phare tu m’y trouveras Photo : Marc Chagall, « Les mariés de la Tour Eiffel », 1938.
L’oiseau qui n’existe que lorsqu’on y pense…
très beau…
belle journée Isabelle.
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L’oiseau ne fait-il pas toujours en sorte que l’on pense à lui ? Merci Barbara, belle journée…
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